1. |
Fakir
03:42
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Je suis comme le fakir
Écoute ma voix, laisse-toi bercer
Secret comme le fakir
Mais comme tu es là, je vais parler
Fakir, c'est l'moins qu'on puisse dire
J'ai pas une vie facile
Mi moine mi pitre
Quel métier d'imbécile !
Je suis comme le fakir
Pas un serpent, ne me résiste
Je suis comme le saphir
Mes impuretés me font briller
Tu peux m'appeler Shinichi Aldebaran
Tu peux monter sur mon beau tapis volant
Tu peux ne pas le répéter à tes parents
Tu peux m'appeler Shinichi Aldebaran
Certaines personnes disent aussi "Fils du vent"
Fakir, c'est l'moins qu'on puisse dire
J'ai pas une vie facile
Mi moine mi pitre
Quel métier d'imbécile !
Je suis comme le fakir
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2. |
Là-bas
03:19
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On vit dans un monde où l'argent
Est la seule idée dans les têtes
On dit que là bas les vrais gens
Sont leur propres maitres
J'suis en vie, j'suis pas mort
J'ai envie d'y croire fort
Nos rois sont des lâches qui lèchent
Le cul du capital
Regarde ces fous, alors que leur monde s'effondre,
Ils n'apprennent rien du tout !
Mal éduqué dans ta cage dorée
S'il faut t'apprendre, je t'apprendrai
Mais j'ai perdu foi depuis longtemps
Et je n'aime pas parler dans le vent
Rien du tout, ils n'apprennent rien du tout et nous, qu'est-c'qu'on fait ?
Rien du tout
Bien sûr que toi, comme moi, on a pas la fièvre du combat
Mais un jour, crois-moi, on n'aura plus le choix
Peut être que là-bas, là-bas, ça n'existe pas
Notre là-bas, on le créera, à la force de nos bras
On prie pour nous mêmes, pour nos mômes
Dans de jolis gestes de mains
Comme si, nos vies valaient plus
Que celle de n'importe quel humain
Ceux qui pensent que leur dieu, s'intéresse tant à eux
Ils n'auront pas leur place
Là-bas
Bien sûr que toi, comme moi, on a pas la fièvre du combat
Mais un jour, crois-moi, on n'aura plus le choix
Peut être que là-bas, là-bas, ça n'existe pas
Notre là-bas, on le créera, à la force de nos bras
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3. |
Je veillerai sur toi
04:13
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Pas une fille sur terre ne fait plus de conneries que toi
Tu bois trop d'alcool, presque autant que moi
Pas une fille sur terre ne fait plus de conneries mais moi
Je veillerai sur toi, bois !
Pas une fille sur terre m'a fait plus de mal que toi
Et chaque homme que tu vois, c'est comme une torture pour moi
Pas une fille sur terre m'a fait plus de mal mais moi
Je veillerai sur toi, aime !
Tu cherches du sens partout mais y'en a pas
Tu ramènes tout à toi, c'est presque flippant parfois
Et l'homme que tu attends il viendra pas mais moi
Je veillerai sur toi, rêve !
Rêve, rêve, rêve, rêve, rêve !
Rêve tout ton saoul
Je veillerai sur toi, bois !
Bois, bois, bois, bois, bois !
Bois tout ton saoul
Je veillerai sur toi
Pas un jour ne passe sans que je pense à ça
Que va-t-on faire là maintenant qu’le monde est mort ?
Pas un jour ne passe sans que j’y pense, mais moi
Je veillerai sur toi, n’y pense pas !
Même si les jeux sont fait et que tout l’monde le sait
Des fois je pense à m’battre, des fois j’aimerais m’en battre
Les couilles mais j’y arrive pas alors choisis pour moi
Je veillerai sur toi, guide moi !
Même si rien n’a d’importance les hommes ne se taisent pas
Sur leur terre poussière, dans leur vie battement de cil
Dans le blablabla plat ou pas, je n’entends qu’une seule voix
Je veillerai sur elle, vis !
Et rêve, rêve, rêve, rêve, rêve !
Rêve tout ton saoul
Je veillerai sur toi, bois !
Bois, bois, bois, bois, bois !
Bois tout ton saoul
Je veillerai sur toi
Je veillerai sur toi
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4. |
T'es la seule
04:19
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Tant d’filles dans Paris et t’es la seule à
Tant d’filles dans Paris et t’es la seule à
Mes yeux et même, je jure, que même si cela ne dure pas…
Tant d’gris dans Paris et t’es la seule à
Tant d’gris dans Paris et t’es la seule à
Porter du bleu et du feu et à me rendre heureux
Tant d’bruit dans Paris et t’es la seule à
Tant d’bruit dans Paris et t’es la seule à
Te taire quand il faut, juste sourire, être beau
Si l’on pète un plomb, si l’on s'étreint
Que j’en garde le souvenir dans un écrin
Jusqu'au jour de l’oraison
Et de l’oubli pas de raison que je tremble
Tant d’mecs dans ton lit et j’suis le seul à
Tant d’mecs dans ton lit et j’suis le seul à
Vouloir, y passer, toutes mes nuits et toutes mes journées
Tant pis pour eux s’ils ne savent pas leur chance
Tant pis pour moi si j’n’ai pas eu ma chance
J’essaye d’être beau, juste sourire, pas trop faux…
Tant d’temps qu’on s’entend, c’est trop tentant
De s’entêter consentant à s’étendre, à attendre
Comme un con, que septembre arrive pour de bon
Si l’on pète un plomb, si l’on s'étreint
Que j’en garde le souvenir dans un écrin
Jusqu'au jour de l’oraison
Et de l’oubli pas de raison que je tremble
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5. |
Gardée pour moi
03:45
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Il me semble que le printemps, revient bien tranquillement
Les fleurs dans les jardins se réveillent, tout doucement
Les secrets dans les jardins se révèlent, naturellement
Quoi, quoi, quoi, mais que me dis-tu là ?
Quoi, quoi, quoi, mais que me dis-tu là ?
Moi, j'ai cru, je crois, qu'elle se gardait pour moi
Oh non mon dieu j'en revenais pas !
Ce secret là je l'ai gardé pour moi
Et tu sais quoi, c'était pareil pour moi
Elle avait beau bien avoir été claire, oui mais pourtant
J'espérais que ses sentiments changent, avec le temps
J'attendais un peu vainement, que c'la se fasse, naturellement
Quoi, quoi, quoi, mais que te dis-tu là ?
Quoi, quoi, quoi, mais qu'imagines-tu là ?
Moi, j'ai cru, je crois, qu'elle se gardait pour moi
Oh non mon dieu j'en revenais pas !
Ce secret là je l'ai gardé pour moi
Et tu sais quoi, c'était pareil pour moi
Moi j'avais tellement envie de toi, comme ça
T'étais tellement belle comme ça
Me dis pas, que tu n'le voyais pas, comme ça
Non je ne te croirai pas
Les princes charmants tu sais, ça déboule, si rapidement
Les jolis contes c'est que dans la tête, quand on se ment
Et mes espoirs s'envolèrent, avant la fin du printemps
Et non tu n't'étais pas gardée pour moi
Et tu sais quoi, je n't'en veux pas
Et non tu n't'étais pas gardée pour moi
Et tu sais quoi, je n't'en veux pas
Tu dis qu't'es bien comme ça
Tu dis qu't'es bien comme ça
Tu dis qu't'es bien comme ça, que c'est mieux comme ça mais Je n'te croirai pas, Je n'te croirai pas
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Shinichi Aldebaran Paris, France
Shinichi a une
Synesthésie musicale,
Sent la musique, ses couleurs
Rêve
d’hérésie, du Graal :
Le feu qui brûle sans douleur
Le bleu qui dort dans nos cœurs
Quand vient la nuit, il réunit son orchestre de guitares, synthétiseurs et boîtes à rythme. Il écrit et s’obsède à, avec eux, faire le bleu et le feu.
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